Le Plan Autisme n°2, développé sous le précédent gouvernement, avait permis d’aboutir aux recommandations très claires de la Haute Autorité de Santé en matière de pratiques d’accompagnement.

Le Plan Autisme n°3, publié en mai dernier, confirme ces mêmes recommandations, dans la droite ligne de ce que l’OMS et les autorités de santé des pays occidentaux préconisent également.

Certes, les moyens, et les processus de mise en oeuvre, ne vont pas permettre un rattrapage aussi important qu’espéré du retard pris dans notre pays, mais les axes sont clairs : Structures de type SESSAD pour un accompagnement en milieu ouvert et scolaire, structures de répit, renforcement de la détection précoce, formation à large échelle,…

La Fondation Autisme participera aux comités de suivi de ce Plan, et y apportera ses recherches de solutions pour faciliter sa mise en oeuvre, tout particulièrement en matière de formations et de services.

La Fondation Autisme dénonce les tentatives de certains courants de faire reculer les pouvoirs publics dans l’application de ce  Plan. Face à des consensus scientifiques internationaux, à des consensus politiques (100 députés de tous bords), et des consensus associatifs, les inerties et polémiques catégorielles doivent cesser.

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